mardi, avril 19, 2005

LOVELY

C'est bien sympa ces histoires de navigateurs grecs mais si on en venait aux faits !?
Ma ville (je ne la présente plus donc) je l'aime comme je la déteste. On comprendra ainsi cette appellation libre et fantaisiste me placant dans un registre de rebellion post-pubère(?) de part l'ironie profonde : "Salut, j'habite à Suicideville".