samedi, avril 30, 2005

Peter donne nous ta force !

Sur l’affiche, il y a une citation de Peter Jackson qui dit que « Cabin fever est le film que tous les fans d’horreur attendaient depuis Evil dead »...

Eli Roth, réalisateur :
Oui, vous ne pouvez pas savoir comment j’étais quand il m’a dit ça ! Un rêve ! J’étais allé en Nouvelle-Zélande pour un festival. Là-bas, je rencontre Peter Jackson qui venait de voir Cabin fever. Au diner, on se retrouve côte à côte et il me dit ça. Vous imaginez un peu, Peter Jackson, celui qui fit une des plus grandes réussites du cinéma avec sa trilogie du Seigneur des Anneaux. Je lui ai dit que c’était dommage qu’on ne puisse pas écrire ça sur l’affiche. Et là, il me dit : « Vraiment, ça t’aiderait si il y avait ça ? Pour moi, il n’y a pas de problème, je veux bien que tu reprennes ce que je viens de te dire ! » J’étais sans voix ; Je me suis levé, j’ai appelé la production, je leur ai dit, et une fois le choc passé, ils m’ont simplement dit ce que je devais faire pour valider ce cadeau que nous faisait Peter Jackson.

St. Thiellement/sfmag.net

jeudi, avril 28, 2005

In memoriam

"Quiconque a eu le privilège de réaliser un film est conscient que c'est comme vouloir écrire Guerre et Paix dans l'autotamponneuse d'un parc d'attractions, mais, lorsqu'enfin la tâche est bien accomplie, peu de choses dans la vie peuvent se comparer à ce que l'on ressent alors." S.K

mardi, avril 26, 2005

Cannes 2005 soon...

Notre cher festival de Cannes se profile à l'horizon (11 au 22 mai).
C'est un Emir Kusturica prévisible qui présidera le jury de ce 58 e festival, accompagné de quelques surprises comme John Woo ou les belles brunettes Salma Hayek et Nandita Das...

Durant 5 jours (14 au 18 mai), armé de nos badges et pioncant dans un hôtel qui nous coûte la peau des nouilles, nous affronterons non sans un plaisir masochiste, cet univers critiquable ou enviable que vous voyez chez vous à la télévision, confortablement installé dans votre canapé.

Cannes we come, soon...

lundi, avril 25, 2005

Japon mon amour

THE TASTE OF TEA

Il faut le voir pour le croire
Il faut le goûter pour l'aimer

En fait et surtout, il faudrait y être pour le vivre.

dimanche, avril 24, 2005

Kill ! Kill ! Kill !

If you want wild living FAST!And if you want to end up giving your all,Let's...because, Pussycat she's living Reckless pussycat she's riding high, If you think that you can tame her, Well just you try!Yeah! Just you try-y!

samedi, avril 23, 2005

Pensée

La vie de château c'est bien, mais la vide-chatte-eau c'est encore mieux.

vendredi, avril 22, 2005

Sur le départ...

Mais qu'est-ce que vous croyez ? C'est toi qui m'a suicidé mon amour ? Je t'aime moi non plus ?
Je vais pas passer le reste de ma vie à vouloir refaire ma ville ! Quand j'en sors, c'est pareil ailleur alors à quoi bon...
Cependant le Monde est vaste oh oui, il est grand, beau et diversifié. Il y a de l'action avec des explosions et des prises d'otages. Il y a aussi de la passion, du romantisme trés émouvant. Du drame à pleurer et aussi de la comédie assez bien jouée dans l'ensemble.
Comment ? Il existe autre chose que Suicideville ? De nouveaux horizons, d'autres terres ?

Sur le départ...

Chantez !

Le village dans les nuages

Nous arrivions
D'un pays sans lumière
Nous naviguions
Sans but près de la Terre
Quand apparut
Au détour d'un nuage
Devant nos yeux
Un pays bleu

Un monde a part
Perche sur un nuage
Ce monde a part
Est un petit village
Qui en secret
Flotte autour de la Terre
Viens avec nous
Au pays doux
Au pays fou

Ici tout n'est que rires
Et que chansons
La joie s'est installée
Dans les maisons
Ou nous t'attendons

Si nous sommes patauds
C'est pour te faire rire
Si nos histoires t'amusent
Tu peux applaudir
Mais surtout n'oublie pas
Que dans les nuages
Il y a ton village...

mercredi, avril 20, 2005

Tourisme

Fraîcheur de vivre

Il fait bon vivre à Suicideville.
Oui car ici c'est le centre du monde. L'important n'est pas ailleur il est ici. Les habitants se suffisent. Il y a une religion : le fouteuballe, qui impose des rituels étranges mais charmants. Il y a une boisson anisé dont le secret remonte aux plus anciens druides. Il y a une sorte de soupe de poisson que certains nomment (avé l'accint si vous plé!) : "Le petit Jésus en culotte de velour".
Et oh bonne mère j'ai failli oublier, il y en a qui "boulègue"(action du cubitus flexus en pronation puis supination...) et ça, nombreux sont ceux qui font un long voyage pour venir participer à la "Suicideville à Pétanque"...
Non sans aucun doute il fait bon vivre ici oh oui, répétez aprés moi.

mardi, avril 19, 2005

L'invasion des profs-amateurs

Aux intervenants bidons jusqu'aux professeurs foireux officiant dans les écoles de cinéma dont j'ai été la victime, je dis ALERTE !
Comment détecter l'imposture : 1) l'intervenant ou le prof débarque avec un film sous le bras.
Rendez-vous 1h30 plus tard...La tête dans le cul il déclare ouverte la réunion des "cinéphiles anonymes", trés répandue aux States surtout à New-York. A tout point de vue il n'a rien à dire.
2) l'intervenant ou le prof débarque avec un livre acheté à la Fnac sous le bras. Rendez-vous 1h plus tard...A tout point de vue il est un bon narrateur, en 1h il n'a certe pas lu le livre en entier mais en a tiré au moins les grandes lignes lui donnant l'élan suprême vers sa conclusion divine :
"Bon, pour la semaine prochaine achetez ce livre."
3) l'intervenant ou le prof débarque avec ses idées et idéaux impénétrables que rien ne peut ébranler, surtout pas un jeune étudiant en ciné. Thèses préconçues voire bibliques, dictature académico-cinématographique et j'en passe.
Ainsi et avec seulement ces 3 niveaux d'alertes vous êtes déjà dans le rouge.
La prochaine fois : cours de scénario et montage. Vous serez dans la merde, vous serez au niveau CRITIQUE.

LOVELY

C'est bien sympa ces histoires de navigateurs grecs mais si on en venait aux faits !?
Ma ville (je ne la présente plus donc) je l'aime comme je la déteste. On comprendra ainsi cette appellation libre et fantaisiste me placant dans un registre de rebellion post-pubère(?) de part l'ironie profonde : "Salut, j'habite à Suicideville".

lundi, avril 18, 2005

BLOODY BIRTHDAY

A toi l'étalon étalonneur, l'alchimiste équilibriste, j'ai nommé Wabby :

BÔ NANI' !!!

(ah oui au fait, je te lèche l'anus aussi)

Préliminaires

Bienvenue à SUICIDEVILLE

Son histoire commence par un roman d'amour :

Protis le phocéen épouse Gyptis la ligure. Un groupe de navigateurs grecs, venus de Phocée, un port d'Ionie situé à l'autre bout de la Méditerranée, en Asie Mineure, découvrent , à peine visible de l'extérieur, un port exceptionnel, plan d'eau de 40 hectares orienté d'Est en Ouest et protégé des vents par des collines en surplomb. Ce débarquement a lieu le jour choisi par le roi Nann pour marier sa fille Gyptis. Gyptis doit elle-même choisir son futur époux et c'est vers Protis qu'elle tend la coupe nuptiale.

C'est ainsi que naît Suicideville en 600 environ avant J-C.